02/11/2016 - L’événement, qui commence vendredi, va rendre hommage à Valeria Bruni Tedeschi et au costumier Paco Delgado ; de nombreuses avant-premières mondiales au programme

Du 4 au 12 novembre, pour la 13e édition de son Festival du cinéma européen, dirigé avec brio, pour la 4e année, par José Luis Cienfuegos, Séville va de nouveau être habitée par une atmosphère continentale et moderne de film d’auteur. L’événement rendra chaleureusement hommage à l’actrice et réalisatrice italienne Valeria Bruni Tedeschi, ainsi qu’au costumier Paco Delgado, deux fois nominé aux Oscars (pour Les Misérables [+lire aussi :
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fiche film] et The Danish Girl [+lire aussi :
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interview : Paco Delgado
fiche film]). 27 avant-premières mondiales sont prévues, dans un programme qui se caractérise comme toujours par son esprit de révolte, son sens du risque et son goût de la transgression.

Dans le cadre de la compétition officielle, le festival va réunir près du Guadalquivir des cinéastes connus pour leur styles très singulier, comme le Galicien Oliver Laxe (Mimosas [+lire aussi :
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interview : Oliver Laxe
fiche film]) et le Français Alain Guiraudie (déjà sélectionné il y a trois avec L’Inconnu du lac [+lire aussi :
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interview : Alain Guiraudie
fiche film], de retour avec Rester vertical [+lire aussi :
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interview : Alain Guiraudie
fiche film]), mais aussi Olivier Assayas (Personal Shopper [+lire aussi :
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interview : Artemio Benki
interview : Olivier Assayas
fiche film]), l’Autrichien Ulrich Seidl (Safari [+lire aussi :
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fiche film]), la Britannique Andrea Arnold (American Honey [+lire aussi :
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Q&A : Andrea Arnold
fiche film]), Bruno Dumont (Ma loute [+lire aussi :
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Q&A : Bruno Dumont
fiche film]), le Catalan Albert Serra (avec ce petit joyau qu’est La Mort de Louis XIV [+lire aussi :
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interview : Albert Serra
fiche film]) et le maestro Paul Vecchiali (objet l’année dernière d’une vaste rétrospective, en lice cette année avec Le Cancre [+lire aussi :
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Dans la section Les nouvelles vagues, qui accueille les productions européennes les plus innovantes, le public va retrouver Pablo Llorca (Días color naranja [+lire aussi :
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fiche film]), David Macián (La mano invisible [+lire aussi :
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fiche film]), Ado(lfo) Arrietta (Belle dormant [+lire aussi :
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interview : Ado Arrietta
fiche film]), Enrique Baró (La película de nuestra vida [+lire aussi :
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interview : Enrique Baró
fiche film]) et Caroline Deruas (L’Indomptée [+lire aussi :
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interview : Caroline Deruas
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Le volet Pas de fiction réunit notamment les derniers travaux de Salomé Lamas (El Dorado XXI [+lire aussi :
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fiche film]), Ben Rivers (What Means Something), Eugène Green (Faire la parole), son compatriote français Jonathan Littell (Wrong Elements [+lire aussi :
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fiche film]), Hernan Zin (Born in Syria [+lire aussi :
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fiche film]), Rita Azevedo Gomes (Correspondências [+lire aussi :
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fiche film]) et Marie Losier (O passaro da noite).

Résistances, la section réservée au cinéma espagnol le plus indépendant, alternatif et audacieux, va présenter des films comme El misterio de Aaron de Carlos Rivero, Los mutantes [+lire aussi :
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fiche film] de Gabriel Azorín, Marisa en los bosques [+lire aussi :
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fiche film] d’Antonio Morales, El último verano [+lire aussi :
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fiche film] de Leire Apellaniz et deux titres de Kikol Grau : Inadaptados et No somos nada.

Parallèlement à ce programme, le festival organise Spanish Screenings-Sevilla TV 2016 (un rendez-vous pour l’industrie internationale dédié à la vente et à la promotion des productions audiovisuelles espagnoles), un cycle dédié à la cinéaste irlandaise militante Vivienne Dick et l’annonce, le 5 novembre, des finalistes aux EFA-European Film Awards.

(Traduit de l'espagnol)