20/03/2018 - L’acteur est en tête d’affiche du premier long métrage d’Antoine de Bary. Noée Abita est aussi au casting. Une production Iconoclast Films

Très remarqué avec son premier court métrage L’enfance d’un chef (Prix Canal+ à Semaine de la Critique cannoise 2016, mention spéciale de la première œuvre à Clermont-Ferrand en 2017, récemment en vitrine de MyFrenchFilm Festival), Antoine de Bary tourne depuis fin février son premier long métrage : Mes jours de gloire [+lire aussi :
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interview : Antoine de Bary
fiche film].

Le cinéaste retrouve Vincent Lacoste (nominé au César 2010 du meilleur acteur pour Hippocrate [+lire aussi :
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interview : Thomas Lilti
fiche film], au César 2017 du meilleur second rôle pour Victoria [+lire aussi :
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interview : Justine Triet
fiche film] et au César 2010 du meilleur espoir pour Les beaux gosses [+lire aussi :
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fiche film]; et que l’on verra bientôt dans Première année de Thomas Lilti, Plaire aimer et courir vite [+lire aussi :
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Q&A : Christophe Honoré
fiche film] de Christophe Honoré, Amanda [+lire aussi :
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interview : Mikhaël Hers
fiche film] de Mikhaël Hers et Deux fils [+lire aussi :
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fiche film] de Félix Moati). Au casting figure également entre autres la jeune Noée Abita (révélée l’an dernier sur la Croisette dans Ava [+lire aussi :
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interview : Léa Mysius
fiche film] et qui sera en salles à l’automne dans Le Grand Bain). 

Ecrit par le réalisateur et Elias Belkeddar, le scénario est un récit inversé du passage à l’âge adulte d’un jeune homme qui se traduit par l’effondrement de tous ses succès. Adrien, acteur d’une vingtaine d’années, a connu la gloire, le travail et l’argent avant d’être majeur. Tout s’est arrêté il y a bien longtemps et le monde autour de lui se dérègle petit à petit. Il est rattrapé par les impôts, doit retourner vivre chez ses parents, s’éprend d’une très jeune fille et surtout n’arrive plus à avoir d’érection.

Sélectionné au programme Next Step 2016 de la Semaine de la Critique cannoise, le projet y était annoncé comme “une comédie existentielle, un drame qui côtoie l’humour à travers ses personnages tour à tour médiocres et attachants“, “une volonté d’aborder la virilité, la nostalgie de l’enfance et l‘inimité avec une grande bienveillance.“

Produit par Mourad Belkeddar, Nicolas Lhermitte, Charles-Marie Anthonioz, Jean Duhamel et Elias Belkeddar pour Iconoclast Films, Mes jours de gloire bénéficie notamment du soutien du soutien de l’avance sur recettes du CNC et a été préacheté par Canal+. Le tournage se déroulera jusqu’à fin avril à Paris et en région parisienne. 

Iconoclast Films compte actuellement en post-production Le Monde est à toi [+lire aussi :
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interview : Romain Gavras
fiche film] de Romain Gavras (lire l’article). La socité parisienne avait débuté dans les longs métrages cinématographiques en coproduisant Wrong [+lire aussi :
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fiche film] de Quentin Dupieux (découvert au Sundance 2012) avant de produire Mad Love in New York de Ben et Joshua Safdie (découvert à Orizzonti à la Mostra de Venise 2014), La Résistance de l’air [+lire aussi :
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fiche film] de Fred Grivois (2015) et Dom Juan [+lire aussi :
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interview : Vincent Macaigne ­
fiche film] de Vincent Macaigne (Cinéastes du Présent à Locarno en 2015).