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FESTIVALS / PRIX France / États-Unis

Un International Emmy Award pour Des gens bien ordinaires

par 

- La première saison de la série écrite et réalisée par Ovidie l’a emporté à New York dans la catégorie Fiction courte. Une production Magneto vendue par StudioCanal

Un International Emmy Award pour Des gens bien ordinaires
Jérémy Gillet dans Des gens bien ordinaires

La 51e cérémonie des International Emmy Awards a couronné une production française dans la catégorie Fiction courte avec la série Des gens bien ordinaires écrite et réalisée par Ovidie (déjà remarquée avec la série courte animée Libres ! et avec des documentaires comme Pornocratie : Les nouvelles multinationales du sexe [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
en 2017 au SXSW d’Austin ou encore Le Procès du 36 en compétition l’an dernier à Thessalonique).

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Lancés l’an dernier sur Canal+, les huit épisodes de la première saison de Des gens bien ordinaires plongent dans un monde dystopique où les femmes détiennent le pouvoir et suivent Romain, un étudiant en sociologie attiré par les lumières des plateaux de cinéma porno, qu'il voit comme une voie d'émancipation. Une histoire qui détourne l'industrie du porno pour livrer une critique de notre monde.

Produite par Marc Berdugo et Barbara Conforti pour Magneto (qui compte entre autres à son actif le documentaire multiprimé Selfie [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
de l’Italien Agostino Ferrente), la première saison a été interprétée par Jérémy Gillet, Sophie-Marie Larrouy, Raïka Hazanavicius, Romane Bohringer, Arthur Dupont, Andréa Bescond, Agathe Bonitzer, Matthieu Lescop et Anne Benoît. Les quatre premiers nommés figurent de nouveau en tête d’affiche de la saison 2 dont le tournage s‘est terminé la semaine dernière et qui compte aussi au casting Andranic Manet, Aloïse Sauvage, Olivia Côte, Judith Godrèche, Thomas VDB et Corinne Masiero. L’intrigue ? Romain ne cessait d’en parler, il souhaite réaliser ses propres films dans une perspective égalitaire. Mais entre grotesque et catastrophe industrielle, son premier tournage se résume à une accumulation cauchemardesque de contraintes et malchances, jusqu’au comique. Romain se heurte alors à une violence bien pire que celle de l’industrie pornographique : le regard social…

Les ventes internationales des deux saisons sont pilotées par StudioCanal.

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