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FINANCEMENTS Pologne

Du soutien pour les coproductions minoritaires polonaises

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- 15 coproductions minoritaires ont bénéficié en 2016 du soutien accordé par le Polish Film Institute via un nouveau fonds spécial créé l’an dernier

Du soutien pour les coproductions minoritaires polonaises
La réalisatrice Claire Denis, qui coproduira son prochain film High Life avec la Pologne

Afin d'encourager les productions internationales, le Polish Film Institute (PISF) a initié en 2016 un fonds spécial dédié aux coproductions minoritaires. La commision, présidée par le réalisateur Andrzej Jakimowski, a donc organisé trois sessions durant lesquelles les experts ont étudié 44 projets de films candidats au soutien, dont 15 ont obtenu une décision favorable. 

Le principal bénéficiaire avec 349 000 euros de soutien est High Life [+lire aussi :
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de Claire Denis, coproduit la Pologne via Madants avec Alcatraz Films (France), Pandora Film (Allemagne) et The Apocalypse Films (Royaume-Uni). Dovlatov du Russe Alexey German Jr. est appuyé à hauteur de 203 000 euros (coproducteur polonais : Message Film) et Under The Tree [+lire aussi :
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de l'Islandais Hafsteinn Gunnar Sigurdsson, qui est aussi coproduit par Madants, a récolté 86 000 euros de soutien. Parmi les autres bénéficiaires, on peut également citer des films signés Greg Zglinski, Diego Lerman, Janis Nords, Etienne Kallos, Jan Hrebejk ou encore Antonio Morabito.

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Comme l'a souligné Robert Balinski, membre de la commission du Polish Film Institute en faveur des productions minoritaires, le fonds est orienté pour l’instant vers le jeune cinéma européen, en mettant l’accent sur la coopération avec l’Europe centrale et orientale, notamment avec la République Tchèque, la Lituanie, la Lettonie, la Bulgarie, la Géorgie ou l'Ukraine. "Nous n’oublions pas évidemment les grands marchés européens" a-t-il précisé, "mais une coopération intense dans notre région passe par davantage d'efficacité en termes de réciprocité, autrement dit par plus de soutien étranger à l'avenir pour les projets polonais."

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