Cannes confirme le talent autrichien
par Bénédicte Prot
La qualité du cinéma autrichien continue de se faire remarquer à l'occasion des événements cinématographiques les plus prestigieux. S'étant déjà affirmée aux Oscars, elle vient d'être consacrée au Festival de Cannes avec la Palme d'or remise à un Michael Haneke ému pour le superbe Le ruban blanc [+lire aussi :
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interview : Michael Haneke
fiche film] (lire le compte-rendu).
À ce triomphe tant attendu de l'auteur de Funny Games s'ajoute celle de l'acteur viennois Christoph Waltz primé pour son rôle de vilain nazi dans le film Inglourious Basterds [+lire aussi :
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fiche film] de Quentin Tarentino, pour lequel le public cannois a fait la queue pendant des heures à chaque séance. Waltz, qui travaille beaucoup pour la télévision, était à l'affiche du thriller alpin Lapislazuli de Wolfgang Murnberger (2006). Il a également participé à plusieurs productions internationales comme, pour en citer une des plus récentes, le film américain Pacte avec le Diable (2001).
Enfin, le charmant titre italo-autrichien de la Quinzaine des réalisateurs, La pivellina [+lire aussi :
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fiche film] de Tizza Covi et Rainer Frimmel (lire le compte-rendu), également producteurs du film par le biais de leur société Vento Film, basée à Vienne, a remporté à l'unanimité le Label Europa Cinémas .
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