22/10/2012 - Et c'est Sally El Hosaini qui porte l'étendard britannique

L'impeccable Rust And Bone [+lire aussi :
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interview : Jacques Audiard
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fiche film] de Jacques Audiard, qui a nettement été le grand succès critique et commercial du 56ème Festival BFI de Londres, a fini comme on s'y attendait par rafler son Prix du meilleur film. Pas de surprises non plus pour My Brother The Devil [+lire aussi :
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fiche film] de Sally El Hosaini, qui a justifié l'impatience qu'il suscitait et remporté le Prix du meilleur nouveau venu britannique. Le Prix Sutherland du meilleur premier film est allé à Benh Zeitlin pour Beasts Of The Southern Wild. Le Prix Grierson du meilleur documentaire a quant à lui récompensé Alex Gibney pour Mea Maxima Culpa: Silence In The House Of God.

Cette année, le festival a battu des records de présences, avec 149 000 entrées vendues en tout, soit 12% de plus que l'année dernière. La nouvelle directrice de l'événement, Clare Stewart, proposait un programme remanié et un festival raccourci à 12 jours mais plus étendu géographiquement dans la capitale (et dans le pays grâce à deux cinecasts). En tout, le festival a présenté 228 longs métrages de fiction et documentaires, dont 12 en avant-première mondiale, 11 en avant-première internationale, 37 en avant-première européenne, et 111 courts métrages représentant 68 pays. L'événement a accueilli 570 réalisateurs et autres invités, dont 286 britanniques et 284 invités étrangers. 1139 professionnels du monde entier ont assisté aux 43 projections marché et événements proposés.

La grande kermesse londonienne s'est achevée hier sur l'avant-première européenne de Great Expectations [+lire aussi :
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fiche film] de Mike Newell, qui correspond avec le bicentenaire de la naissance de Charles Dickens. Tous les acteurs ont accompagné Newell et les producteurs du film sur le tapis rouge devant la foule de Leicester Square.

(Traduit de l'anglais)