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PRIX Suède

Göteborg, un festival généreux et toujours prêt à rendre service

par 

- Trois longs métrages et huit courts se disputent deux des prix principaux du festival suédois. À gagner : des services à la production

Le 36ème Festival de Göteborg (25 janvier-4 février), qui commence ce soir, offre un des prix de cinéma les mieux doté du monde : le Dragon du meilleur long métrage nordique, qui est assorti d'un million de couronnes suédoises, soit 117 000 euros. Cependant, Tout ne s'y résume pas toutefois à l'argent : deux des prix principaux s'accompagnent de services à la production.

Le Prix Lorens, qui tient son nom du légendaire producteur suédois Lorens Marmstedt (1908-1966), en est à sa sixième édition. Il est offert par Stockholm Postproduction(Stopp) et permet au gagnant de faire développer son film gratuitement, un service d'une valeur d'environ 57 600 euros.

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Trois équipes producteur(s)/réalisateur(s) se disputent la récompense : China Åhlander avec Gabriela Pichler pour Eat Sleep Die [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : China Ahlander
interview : Gabriela Pichler
interview : Nermina Lukac
fiche film
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Fredrik Heinig et Matthias Nohrborg avec Kristina Lindström et Maud Nycander pour PalmeMalik Bendjelloul pour Sugar Man [+lire aussi :
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(qu'il a réalisé et produit). Heinig a déjà obtenu le prix l'année dernière, pour Darling [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
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de Johan Kling.

La compétition Startsladden, réservée au meilleur court métrage suédois, fête son dixième anniversaire. "Nous avons le plaisir de présenter des films parmi les meilleurs du monde", a commenté son responsable Tobias Åkesson, de la section Films nordiques.

Le gagnant, qui recevra 81 000 euros, sera choisi parmi huit candidats : Eating Lunch de Sanna Lenken, 6 Big Fish de Stefan Constantinescu, On Suffocation de Jenifer Malmqvist, The Day My Dad Was Shot de Babak Najafi, Victim-Mentality Rhetoric de Katja Wik, Coastal Forecast de Johannes Stjärne Nilsson et Ola Simonsson, This Is Now d'Anders Jedenfors et Couple Fucking de Peter Modestij.

Le lauréat fera également l'objet, le 27 janvier au Cinéma Draken, d'une séance suivie d'un gala. L'année dernière, l'honneur est allé à Johan Jonason pour Dance Music Now.

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(Traduit de l'anglais)

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