21/10/2015 - En ouverture de ce rendez-vous important pour les jeunes talents allemands comme le cinéma indépendant mondial : One Breath de Christian Zübert

La ville bavaroise de Hof a donné hier soir le coup d'envoi de la 49ème édition des Journées internationales du cinéma de Hof (20-25 octobre 2015), avec comme film d'ouverture One Breath [+lire aussi :
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fiche film] (litt. "une bouffée d'air") de Christian Zübert, sur le parcours désespéré de deux femmes : une mère allemande à laquelle son enfant manque et une jeune Grecque qui n'est pas prête à devenir mère. 

Le festival a en partie vocation à mettre en avant les nouveaux talents allemands, notamment à travers ses prix, destinés avant tout à promouvoir la nouvelle génération outre-rhénane : le Prix Nouveau Talent du cinéma allemand (d'une valeur de 10 000 euros offerts par plusieurs partenaires bavarois), le Prix de la Ville de Hof (qui compte parmi ses précédents lauréats les réalisateurs Werner Herzog, Tom Tykwer, Christian Petzold et Doris Dörrie, pour n'en citer que quelques uns, mais aussi des acteurs, comme Jessica Schwarz), le Prix Hans Vogt, dédié à un film innovant où une attention particulière est portée au son (un prix dont les deux lauréats précédents sont Wim Wenders et Edgar Reitz), le Prix Granit du meilleur documentaire allemand et le Prix Bild-Kunst des meilleurs décors et costumes (offert l'année dernière à la costumière de l'excellent We Are Young, We Are Strong [+lire aussi :
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fiche film]).

L'autre grande mission des Journées de Hof est de mettre en avant le cinéma indépendant du monde entier. Parmi les longs-métrages à son programme, on trouve le courageux I Am Nojoom, Age 10 and Divorced de la Yéménite Khadija Al-Salami(coproduit en France), Brooklyn [+lire aussi :
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fiche film] de John Crowley, scénarisé par Nick Hornby, les titres cannois Love [+lire aussi :
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fiche film] de Gaspar Noé, Une histoire de fou [+lire aussi :
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fiche film] de Robert Guédiguian et Je suis un soldat [+lire aussi :
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interview : Laurent Larivière
fiche film] de Laurent Larivière, avec Louise Bourgoin et Jean-Hugues Anglade, Comme un avion [+lire aussi :
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fiche film] de Bruno Podalydès, Vincent n'a pas d'écailles [+lire aussi :
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fiche film] de Thomas Salvador, le film suisse Bouboule [+lire aussi :
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fiche film] de Matias Bize, ou encore Tête baissée [+lire aussi :
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fiche film] de l'excellent Bulgare Kamen Kalev. 

La section portrait est dédiée cette année au romancier et réalisateur anglais Christopher Petit (dit Chris Petit). Cette rétrospective réunit pas moins de quinze de ses oeuvres : longs-métrages de fiction, courts et courts-métrages documentaires.