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SAN SEBASTIAN 2016

De grands cinéastes espagnols en lice pour le Coquillage d’or

par 

- Les titres espagnols en compétition internationale à la prochaine édition du grand festival basque ont été annoncés ce matin. Parmi eux : les nouveaux film de Alberto Rodriguez et Jonas Trueba

De grands cinéastes espagnols en lice pour le Coquillage d’or
El hombre de las mil caras d'Alberto Rodríguez

Un des moments les plus attendus du monde du cinéma espagnol l’été est l’annonce par l’Académie espagnole du cinéma, à Madrid, de la composition de la délégation nationale au Festival international de San Sebastian. Cette année, deux noms se démarquent parmi les candidats locaux aux Coquillage d’or de la compétition internationale. Alberto Rodriguez, catapulté sur le devant de la scène avec La isla mínima [+lire aussi :
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interview : Alberto Rodríguez
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(trois prix à San Sebastian il y a deux ans), présentera El hombre de las mil caras [+lire aussi :
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interview : Alberto Rodríguez
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, une ambitieuse production interprétée par José Coronado et Eduard Fernandez (lire l’info). Aux antipodes de ce titre, on trouve le film d’auteur intime La Reconquista [+lire aussi :
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interview : Jonas Trueba
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 de Jonas Trueba, après Los exiliados románticos [+lire aussi :
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interview : Jonás Trueba
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, récompensé par deux trophées l’année dernière au Festival du cinéma espagnol de Malaga (lire l’article).

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C’est à Malaga aussi (avec Stockholm [+lire aussi :
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) qu’a été révélé le troisième Espagnol en compétition internationale, Rodrigo Sorogoyen, qui arrive au grand rendez-vous basque avec Que dios nos perdone [+lire aussi :
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interview : Rodrigo Sorogoyen
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(lire l’article), un thriller qui réunit Antonio de la Torre et Roberto Alamo. Les trois films feront à San Sebastian leur avant-première mondiale – contrairement à A Monster Calls [+lire aussi :
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interview : Juan Antonio Bayona
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) de J.A. Bayona (lire notre article), qui passera par Toronto avant de revenir au pays pour son avant-première européenne.

Le public pourra aussi découvrir pour la première fois, en projection spéciale, le documentaire cinéphilique Manda huevos [+lire aussi :
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de Diego Galán et Vivir y otras ficciones [+lire aussi :
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interview : Jo Sol
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, de Jo Sol. Le Vélodrome accueillera la projection de Kalebegiak, pour lequel de jeunes talents ont été placés aux côtés de figures consacrées comme Imanol Uribe, Gracia Querejeta et Daniel Calparsoro (lire l’article). Dans la section, “Nuevos Directores”, Nely Reguera dévoilera son premier long-métrage, María (y los demás) [+lire aussi :
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interview : Nely Reguera
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(lire l’article).

L’Espagne est aussi représentée par des coproductions avec l’Amérique hispanique, comme Neruda [+lire aussi :
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de Pablo Larraín (section Perlas) et Era o Hotel Cambridge [+lire aussi :
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 d’Eliane Caffé (section Horizons latinos - lire l’article). Enfin, les films espagnols invités dans la section Zabaltegi-Tabakalera sont Sipo Phantasma [+lire aussi :
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de Koldo Almandoz, Our walls, de Maria Elorza et Maíder Fernandez, et le court-métrage Caminan de Mikel Rueda.

Compétition

El hombre de las mil caras [+lire aussi :
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interview : Alberto Rodríguez
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Alberto Rodríguez (Espagne)
Que dios nos perdone [+lire aussi :
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interview : Rodrigo Sorogoyen
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Rodrigo Sorogoyen (Espagne)
La reconquista [+lire aussi :
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interview : Jonas Trueba
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 - Jonás Trueba (Espagne)

Hors compétition

A Monster Calls [+lire aussi :
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interview : Juan Antonio Bayona
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 - JA Bayona (Espagne)

Séances spéciales

Manda huevos [+lire aussi :
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 -
 Diego Galán (Espagne)
Vivir y otras ficciones [+lire aussi :
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interview : Jo Sol
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Jo Sol (Espagne)

Zabaltegi-Tabakalera

Our Walls – María Elorza, Maider Fernández Iriarte (Espagne)
Sipo Phantasma [+lire aussi :
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]
 – Koldo Almandoz (Espagne)
Caminan (court-métrage) – Mikel Rueda (Espagne)

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(Traduit de l'espagnol)

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