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PRIX France

Le prix IFCIC pour Les Films du Bélier

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- La structure pilotée par Justin Taurand gagne le trophée 2016 récompensant une jeune société de production indépendante

Le prix IFCIC pour Les Films du Bélier
Le producteur Justin Taurand (© Jean-Baptiste Le Mercier / UniFrance)

Distinguant une jeune société de production indépendante, le 13e prix IFCIC décerné par l’Institut pour le financement du cinéma et des industries culturellesa été attribué pour 2016 aux Films du Bélier, une structure fondée et dirigée par Justin Taurand.

Très actif dans la production de courts-métrages (une quarantaine à ce jour), ce qui lui a permis d'accompagner vers le long notamment Katell Quillévéré (Un poison violent [+lire aussi :
critique
bande-annonce
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]
) et Hélier Cisterne (Vandal [+lire aussi :
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]
), Justin Taurand avait été désigné en 2011 Producer on the Move de l'European Film Promotion (lire son interview à cette occasion).

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Le dernier film produit par Justin Taurand est Réparer les vivants [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Katell Quillévéré
fiche film
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de Katell Quillévéré (production déléguée partagée avec Les Films Pelléas), sélectionné à Venise et à Toronto, et à l'affiche dans les salles françaises depuis sept semaines.

Parmi les projets 2017 des Films du Bélier pointent Madeleine Collins d’Antoine Barraud et De nos frères blessés de Hélier Cisterne, alors que Tristes Monroes du duo Gabriel Abrantes - Daniel Schmid est actuellement en postproduction.

Les Films du Bélier succèdent au palmarès du prix IFCIC à TS Productions (2004), Les Productions du Trésor (2005), Elia Films (2006), La Mouche du Coche (2007), Les Films du Poisson (2008), 2.4.7 Films (2009), The Film (2010), Origami Films (2011), Lionceau Films (2012) et Dharamsala (2013), Lilies Films (2014) et CG Cinéma (2015).

L’IFCIC est un établissement chargé de faciliter l’accès au crédit des entreprises culturelles. Grâce à des fonds dotés par les pouvoirs publics (notamment le CNC), l’IFCIC garantit les crédits bancaires octroyés aux producteurs d’œuvres cinématographiques ou audiovisuelles, aux industries techniques et aux exploitants de salles, ainsi qu’aux entreprises exerçant une activité dans le domaine culturel.A fin septembre 2016, l’encours des crédits octroyés ou garantis atteignait plus de 1 milliard d’euros.

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