email print share on Facebook share on Twitter share on LinkedIn share on reddit pin on Pinterest

TORONTO 2017 Cinéma contemporain du monde

Tulipani, Love, Honour and a Bicycle : quand les rêves se réalisent

par 

- TORONTO 2017 : La nouvelle comédie du Hollandais Mike van Diem est l’histoire d’un Canadien avec des racines italiennes, enveloppée dans une aura fantastique

Tulipani, Love, Honour and a Bicycle : quand les rêves se réalisent
Ksenia Solo et Gijs Naber dans Tulipani, Love, Honour and a Bicycle

La section Cinéma contemporain du monde du Festival de Toronto a accueilli l’avant-première mondiale de la nouvelle comédie du Hollandais Mike van Diem, Tulipani, Love, Honour and a Bicycle [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
, qui opère une candide et délicate juxtaposition de plusieurs narrations orales sur l’arbre généalogique d’une jeune Canadienne nomméé Anna (Ksenia Solo).

Bien que le film soit une sympathique comédie, les aventures d’Anna commencent après un des jours les plus tragiques de sa vie : sur son lit de mort, sa mère lui fait promettre que ses cendres seront remises aux habitants d’un petit village italien isolé. Anna se lance alors dans un voyage de Montréal aux Pouilles, sans savoir qu’elle va y apprendre l’identité de son père, et la véritable histoire de sa famille.

(L'article continue plus bas - Inf. publicitaire)

La construction de ce récit situé dans les années 1980 se fait par le truchement de flashbacks liés aux différents narrateurs spontanés qui apportent tour à tour de nouvelles informations sur les racines de l’héroïne, ou modifient les exagérations des récits précédents. Le résultat est une polyphonie joviale, enveloppé dans une touchante aura fantastique.

Le spectateur se rend vite compte que le récit sur le voyage d’Anna dans les Pouilles n’est qu’un prétexte pour introduire une deuxième histoire, à laquelle renvoie le titre : celle de son père, Gauke (Gijs Naber). Le film devient en effet la chronique de l’arrivée de ce dernier dans le même village italien, des années plus tôt, à travers quatre éléments qui résument sa vie : la bicyclette qui l’a amené des Pays-Bas en Italie, son amour pour la mère d’Anna, ses grandes plantations de tulipes, destinées à l’export, et l’honneur avec lequel il a défendu son couple et son magasin malgré son statut d’immigrant.

Tulipani, Love, Honour and a Bicycle est une ode à l’espérance, une fable sur les rêves qui se réalisent.

La production du film a réuni les efforts de Fatt Productions et Draka Productions. Ses ventes internationales sont assurées par Atlas International Film GmbH.

(L'article continue plus bas - Inf. publicitaire)

(Traduit de l'espagnol)

Vous avez aimé cet article ? Abonnez-vous à notre newsletter et recevez plus d'articles comme celui-ci, directement dans votre boîte mail.

Privacy Policy