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FILMS Italie

Smetto Quando Voglio – Ad Honorem : dernier volet d’une saga à succès

par 

- Le 3e et dernier volet de la saga des J’arrête quand je veux de Sydney Sibilia et sa formidable troupe d’acteurs arrivent sur les écrans italiens avec 01 Distribution

Smetto Quando Voglio – Ad Honorem : dernier volet d’une saga à succès
Stefano Fresi dans Smetto Quando Voglio – Ad Honorem

Smetto Quando Voglio – Ad Honorem [+lire aussi :
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, troisième et dernier chapitre de la mini-saga des J’arrête quand je veux qui a vu le jour il y a trois ans, marquant les débuts dans le long-métrage de Sydney Sibilia avec un film qui a réalisé 4 millions d’euros de recettes, va nous permettre de retrouver nos héros, les “esprits les plus brillants en circulation”, là où nous les avions laissés : en prison pour fabrication et vente de substances illicites, port d’armes et... attaque de train.

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Pietro Zinni (Edoardo Leo), le neurophysicien, leader de la bande, est agité : il vient de comprendre que le “sopox” synthétisé par son collègue Walter Mercurio (Luigi Lo Cascio), professeur de chimie des corps non-organiques, est un agent innervant très dangereux au moyen duquel le diabolique académique veut venger la mort de sa compagne en pleine tentative d’assassinat des décideurs de l’éducation nationale. Seule la bande peut l’arrêter, avec l’aide d’un terrible criminel qui est leur némésis : l’ingénieur naval Claudio Felici (Neri Marcorè), dit “il Murena”. Zinni organise l’évasion, chacun selon ses compétences propres, de tous ses camarades : Mattia Argeri et Giorgio Sironi (Valerio Aprea et Lorenzo Lavia), experts en sémiotique interprétative et épigraphie latin, l’archéologue et cartographe Arturo Frantini (Paolo Calabresi), Bartolomeo Bonelli (Libero De Rienzo), expert en macroéconomie dynamique, Alberto Petrelli (Stefano Fresi), du département chimie numérique, Andrea De Sanctis (Pietro Sermonti), anthropologue culturel, Giulio Bolle (Marco Bonini), spécialiste de l’anatomie, Lucio Napoli (Giampaolo Morelli), ingénieur en mécanique électronique. Le troupe de ce film choral est complétée par Greta Scarano et Valeria Solarino, dans les rôles, respectivement, d’une policière un peu “complice” et de l’ex-femme de Zinni. 

Smetto Quando Voglio – Ad Honorem, de nouveau scénarisé par le réalisateur avec Francesca Manieri et Luigi Di Capua, produit par la société Groenlandia de Matteo Rovere (le réalisateur de Veloce come il Vento [+lire aussi :
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, dont on sent la participation dans les scènes les plus spectaculaires du film) avec Fandango et Rai Cinema, retrouve la fraîcheur et l’intelligence du premier épisode, qui partait d’une idée ô combien d’actualité : celle de réunir un groupe de jeunes et brillants chercheurs réduits, au mieux, à des métiers alimentaires, qui décident pour mieux gagner leurs vies de se lancer dans le crime. À des scénarios brillants et pleins d’humour, la trilogie a uni une mise en scène très personnelle et créative, avec comme marques de fabrique des couleurs fluo saturées (la photographie est de l’excellent Radan Vladovic), un montage bien syncopé (par Gianni Vezzosi) et la musique électronique évocatrice (avec Roland Juno-6, Moog, Korg Polysix) de Michele Braga. L’humour romano-centré de la plupart des acteurs est tempéré par la présence toute napolitaine du directeur de prison joué par Peppe Barra et de Giampaolo Morelli.

Le film arrive aujourd’hui dans les cinémas transalpins, avec 01 Distribution.

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(Traduit de l'italien)

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