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PRODUCTION France

In Vivo Films à Cannes avec Abou Leila

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- La jeune société française basée à La Rochelle a produit en minoritaire le film de l’Algérien Amin Sidi-Boumédiène, en vitrine à la Semaine de la Critique

In Vivo Films à Cannes avec Abou Leila
Abou Leila d'Amin Sidi-Boumédiène

C’est ce qui s’appelle une ascension express ! Après des débuts dans le long métrage avec la coproduction de C’est qui cette fille ? [+lire aussi :
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de Nathan Silver, la jeune société française In Vivo Films basée à La Rochelle et dirigée par Louise Bellicaud et Claire Charles-Gervais débarquera à la 58e Semaine de la Critique (qui se déroulera du 15 au 23 mai dans le cadre du 72e Festival de Cannes) avec Abou Leila [+lire aussi :
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de l’Algérien Amin Sidi-Boumédiène qui fera sa première mondiale en compétition.

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"Il s’agit de la première coproduction associant l’Algérie et la France qui soit une majoritaire algérienne, même s’il s’agit quasiment d’une paritaire" explique Claire Charles-Gervais. "Nous avons rencontré le réalisateur et ses producteurs Fayçal Hammoum et Yacine Bouaziz (Thala Films) il y a quatre ans à Locarno, dans le cadre d’Open Doors. Puis le projet a été sélectionné en 2016 à l’Atelier de la Cinéfondation du Festival de Cannes. Du côté français, Abou Leila a bénéficié du soutien de l’Aide aux Cinémas du Monde du CNC, de la région Nouvelle Aquitaine et du département Charente-Maritime. Les six semaines de tournage se sont déroulées en novembre et décembre à Alger et dans le Sud de l’Algérie avant de se terminer en janvier par deux jours en studio à La Rochelle".

Premier long-métrage d’Amin Sidi-Boumédiène, Abou Leila compte au casting Slimane Benouari, Lyes Salem, Azouz Abdelkader, Fouad Megiraga, Meryem Medjkane, Hocine Mokhtar et Samir El Hakim. Écrit par le réalisateur, le scénario plonge dans l’Algérie de 1994. S. et Lotfi, deux amis d’enfance, traversent le désert à la recherche d’Abou Leila, un dangereux terroriste. La poursuite semble absurde, le Sahara n’ayant pas encore été touché par la vague d’attentats. Mais S., dont la santé mentale est vacillante, est convaincu d’y trouver Abou Leila. Lotfi, lui, n’a qu’une idée en tête : éloigner S. de la capitale. Les deux amis s’enfoncent dans le désert...

A noter que la direction de la photographie a été assurée par le Japonais Kanamé Onoyama et que le réalisateur est aussi crédité au montage. Abou Leila sera vendu à l’international par la société allemande Films Boutique (filiale du groupe français Playtime).

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