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FESTIVALS / PRIX Suisse

Le Festival International de Films de Fribourg revient au présentiel

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- Après une édition annulée et une deuxième reportée, le FIFF retourne avec 139 films en provenance de 51 pays

Le Festival International de Films de Fribourg revient au présentiel
Blindfold de Taras Dron

Avec 139 films en provenance de 51 pays, des projections en salles et en plein air, des invités d’exception et des masterclasses très attendues : le Festival International de Films de Fribourg (FIFF) retourne en force.

Outre sa Compétition internationale qui compte douze longs métrages et seize courts métrages en provenance tant d’Europe que d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine, le festival (16-25 juillet) dédie cette année sa section Nouveau territoire à la cinématographie rwandaise, encore trop méconnue et pourtant en pleine ébullition (il s’agit d’une des cinématographies les plus jeunes du monde).

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Côté invités, le réalisateur et producteur mexicain Guillermo del Toro, qui participe au panel dédié cette année au Mexique, donnera une masterclass ouverte au public sous forme de visioconférence depuis Hollywood. Le cinéma mexicain sera mis à l’honneur à travers les votes de 43 cinéastes-enfants du pays, dont le réalisateur Alejandro González Iñarritu, qui ont désigné leur film mexicain favori.

Cette année la star du festival sera la musique, célébrée à travers plusieurs initiatives dont la section Cinéma de genre : Musique ! qui présente plusieurs films européens dont les français Le Choc du Futur [+lire aussi :
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de Marc Collin et Trance d’Emilio Belmonte, Crock of Gold: A Few Rounds with Shane MacGowan [+lire aussi :
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de Julien Temple, Inna De Yard [+lire aussi :
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de Peter Webber, la coproduction entre Royaume Uni et États-Unis Kate Nash : Underestimate the Girl d’Amy Goldstein, Mali Blues de Lutz Gregor (Mali/Allemagne), la coproduction entre Norvège et Pays Bas The Quest for Tonewood de Hans Lukas Hansen, Rockfield: The Studio on the Farm d’Hannah Berryman et White Riot [+lire aussi :
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de Rubika Shah, tous en première suisse. Toujours en lien avec la musique, la nouvelle section Les désirs du public transforme les spectateurs en programmateurs. Des centaines de votant.es ont choisi cinq comédies musicales cultes qui pourront être dégustées pendant le festival. Le charismatique chanteur français Étienne Daho et la comédienne et chanteuse hip-hop suisse Karine Guignard, alias La Gale, s’occuperont des cartes blanches (sélection de films fétiches et masterclasses).

Parmi les douze films sélectionnés pour la Compétition internationale, cinq sont des productions et coproductions européennes : deux portraits percutants de femmes fortes qui se battent avec Blindfold de l’ukrainien Taras Dron et Quo vadis, Aida ? [+lire aussi :
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de la réalisatrice bosnienne Jasmila Žbanić, la coproduction entre la France, l’Allemagne, le Portugal, la Palestine et le Qatar Gaza mon amour [+lire aussi :
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, deuxième long métrage des jumeaux palestiniens Arab et Tarzan Nasser et les deux coproductions avec la France Nouvel ordre [+lire aussi :
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du Méxicain Michel Franco, couronné à Venise 2020 par un Lion d’argent (Grand Prix du Jury) et le lumineux Yellow Cat [+lire aussi :
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du Kazakh Adilkhan Yerzhanov, sélectionné pour la quatrième fois en concours au FIFF.

Parmi les 27 productions suisses au programme, notamment dans la section Passeport suisse et Prix Visa étranger (avec son nouveau Prix Röstigraben), la première mondiale du nouveau long métrage de Pierre-Alain Meier Love of Fate [+lire aussi :
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Le FIFF n’ayant pas opté pour une forme hybride, il ne mettra en ligne une partie de sa programmation qu’après le festival, dès le 26 juillet et jusqu’au 15 août.

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