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PRODUCTION / FINANCEMENT France / Allemagne / Chili / Etats-Unis

Cinéma Defacto mise sur La vaca que cantó una canción hacia el futuro

par 

- La société française a piloté la production du film de Francisca Alegría qui sera en lice dans la compétition World Cinema Dramatic du Festival de Sundance

Cinéma Defacto mise sur La vaca que cantó una canción hacia el futuro
La vaca que cantó una canción hacia el futuro de Francisca Alegría

Produit à 39% par la France, à 31% par l’Allemagne et à 30% par le Chili, La Vache qui chantait le futur [+lire aussi :
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, le premier long métrage de Francisca Alegría fera sa première mondiale au 38e Festival de Sundance (en ligne du 20 au 30 janvier) dans la compétition World Cinema Dramatic.

Écrit par la réalisatrice avec Manuela Infante et Fernanda Urrejola, le scénario voit les poissons mourir dans une rivière du sud du Chili, à cause de la pollution de l'usine de cellulose voisine. Au milieu de leurs cadavres, Magdalena (Mia Maestro), décédée pourtant depuis longtemps, remonte à la surface, haletante, en quête d’air, une réapparition qui rouvre de vieilles blessures et réveille une vague de secrets de famille. Sa vue plonge son mari veuf (Alfredo Castro) dans la tourmente et pousse leur fille, Cecilia (Leonor Varela), à revenir à la ferme laitière familiale. Là, la présence de Magdalena a des répercutions sur tous les membres de la famille, entre fous rires et crises de désespoir, sauf chez l'aînée des enfants de Cecilia, en pleine phase de transition et qui recherche l'amour et la compréhension inconditionnelle de sa grand-mère.

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Produit par Tom Dercourt pour la société parisienne Cinéma Defacto et par Alejandra Garcia pour la structure chilienne Wood Producciones, La Vache qui chantait le futur a été coproduit par les Allemands de Match Factory Production. Les Américains de Persona Entertainment et de Dialectic sont également intervenus en production exécutive. Le long métrage a été soutenu par Eurimages, par l’Aide aux cinémas du monde du CNC, par le German Federal Film Fund et par le World Cinema Fund, avec la participation de ZDF/Arte, des Suisses de Bord Cadre Films et des Anglais de Sovereign Films, et avec l’appui également du Fondo de Fomento Audiovisual, de Ciné Reach et du Sundance Institute. Les ventes internationales sont pilotées par The Match Factory.

Cinéma Defacto compte à son actif récent Olga [+lire aussi :
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d’Elie Grappe (prix SACD à la Semaine de la Critique cannoise 2021) et Costa Brava, Lebanon [+lire aussi :
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de Mounia Akl (dévoilé l’an dernier à Venise, au programme Orizzonti Extra). En fin de fabrication se distingue le film d’animation Saules aveugles, femme endormie [+lire aussi :
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 de Pierre Földes et dans les starting-blocks pour une première la coproduction Rabiye Kurnaz contre George W. Bush [+lire aussi :
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de l’Allemand Andreas Dresen (avec Pandora Filmproduktion aux manettes, coproduit aussi par Iskremas Filmproduktion, et soutenu par le grand accord Arte et l’aide à la coproduction franco-allemande).

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